The Cruise of the Branwen
THE OLYMPIC GAMES national d'escrime aux Jeux Olympiques de 1906. Je n'avais pas toujours le privilege de voir ce que voyaient mes chers collegues, et quelquefois c'etait eux que je trouvais tant soit peu aveugles ; mais enfin je votais, je faisais mon devoir comme 1' ordonnait mon createur. Au point de vue de l'hospitalite, de la bonte d'ame et de cceur, et de l'enthousiasme, rien n'a depasse, rien ne depassera MM. les Hellenes, nos hates Atheniens, dignes a la fois de leur antique cite et de leur royaute moderne. Mais on entre– voyait un leger nuage . d'indecision, de doute, clans !'organisation qu'ils entreprenaient si galam– ment. Le fait est que ce n'est pas tout le monde qui peut organiser un toumoi d'escrime tel que le fait chaque printemps "Les Armes de France," d'une fa~on si pontificalement magistrale que les spectateurs la:iques ne se doutent guere des difficultes innombrables surmontees d'avance, reduites a !'instant OU evitees chemin faisant. Le pis est que pour qui ne les attend pas, ces difficultes reviennent toujours croissant au jour le jour, pendant le tournoi m~me. Voila ce qui est arrive a Athenes OU il a fallu que deux capi– taines d'equipes signassent une lettre a son Altesse Royale le President du Tournoi, affirmant qu'ils acceptaient comme definitif le resultat du combat entre leur deux equipes. Mais figurez-vous mon ebahissement-a moi, un stricte neophyte de l'Ecole de France-d'en– tendre a la premiere conversation des membres du jury international, reunis a Athenes, le 21 avril, une reclamation contre l'usage de la pointe II6
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